Puisque la sadique de service se permet de jouer au Staline du pauvre, en niant mon existence autant que faire se peut, autant noter ici les commentaires qu'elle effacera. Histoire de n'pas me répéter.

Je préfère même pas émettre d'hypothèses, tu m'connais assez pour savoir que j'en faisais toujours..
J'serais même pas surpris d'apprendre que ce jeu t'amuse..
Tu t'rappelles d'E###, la fille comme laquelle t'avais promis de ne jamais devenir. T'avais raison, t'es pas devenue comme elle. Elle, elle a eu la décence de s'excuser. Tandis que par ton silence, tu m'accables d'une culpabilité aussi diffamatrice que destructrice.

"Si je dois placer les femmes sur un piédestal, c'est pour mieux les pousser qu'elles tombent et se fassent mal."
J'regrette de pas t'avoir placée assez haut, désormais.

de PeterGriffin le 2011-05-18 à 21h27

Laisse-moi partir.
M'oblige pas à subir ton bonheur comme ça.
T'as beau être sadique, monstrueuse et tout c'qui va avec, exprime-toi, dis-moi ce que j't'ai fait, et plus jamais j'viendrai exprimer mes vindictes sur ton blog !!
'faut qu'je fasse quoi, pour que tu m'rendes la confiance que tu m'as prise ? Que j'te traque partout sur le net juste qu'à c'que tu t'lasses ?! Que j'écrive un album complet en ton déshonneur ?? 'faut que j'en arrive là ?
J'ai même pas d'mot assez vulgaire pour dire c'que j'pense de toi. Pourtant, tu sais aussi bien qu'moi qu'c'est pas le vocabulaire qui m'manque.

Tu pigeras quand qu'c'est pas ma haine envers toi qui m'fera partir ?? Au contraire, plus j'te détesterai, plus j'chercherai à obtenir ces réponses que tu m'dois, peu m'importent les moyens !!

de PeterGriffin le 2011-05-18 à 21h42

Une journée de plus de ma vie que ton égoïsme sadique détruira..
Une journée de plus à pleurer sur mes crimes dont je n'connais rien..
Une journée de plus dont tu as vidé la substance..
Une journée de plus que tu m'as volée sans que ça n'te rapporte rien.

de PeterGriffin le 2011-05-23 à 08h28

Est-ce que j'ai fait quelque chose ?..
Réponds au moins à ça, dis-moi si t'as dit ça sous le coup d'la colère ou dis-moi c'que j'ai fait.. ='(

de PeterGriffin le 2011-05-23 à 08h33

Et quand je vois tous les efforts qu'elle voue à nier mon existence, je n'suis pas prêt à jeter mes dernières forces dans une bataille si incertaine.

Elle sait comment tout arrêter. En répondant à une question, et je partirai sans regret.
A moi, la seule solution qu'on me propose me coûtera bien plus que ça et mes chances de réussite sont incroyablement minces.
Il n'y a aucune justice là-dedans.

Elle a le droit de continuer à vivre sa vie tranquillement.
Mais elle a le pouvoir de me rendre de quoi vivre la mienne. Et n'en fait rien.
C'est pour ce genre d'individus que vous avez du respect ?
Il faut se comporter comme une sal*pe sans coeur et mener une double vie pour être respecté ?
Autant le dire clairement, ça m'évitera de respecter les mauvaises personnes.
Apprenez-moi donc.

de PeterGriffin le 2011-05-24 à 02h06

Qu'elle pense ce qu'elle veut de moi, ses considérations ne m'importent plus, ce serait le comble.

Mais qu'elle me révèle une fois pour toutes quelles fautes j'ai commises !!

de PeterGriffin le 2011-05-24 à 02h18

La solution que vous me proposez a une issue trop incertaine pour être qualifiée de "sensée".

"Le respect est acquis pour tout être humain, mais si vous ne respectez pas les autres, ne vous attendez pas à être respecté comme vous le voudriez."
J'ai du respect envers tout individu dont je ne connais rien et contre lequel je n'ai par conséquent aucun grief.

Il y a longtemps qu'elle a cessé de mériter le mien, je pense que le débat à ce sujet n'a plus lieu d'être.
Et quand je vois que son attitude paraît défendable aux yeux de certains, je me dis que me comporter comme elle m'aurait peut-être rendu plus heureux. Manque de bol, j'ai trop de RESPECT pour ça.

de PeterGriffin le 2011-05-24 à 09h02

Mon attitude et la sienne n'ont rien en commun.

Je cherche à finir cette histoire une bonne fois pour toutes tandis qu'elle la maintient en vie envers et contre tout.
Je cherche à savoir le mal que j'ai fait tandis qu'elle refuse de reconnaître celui qu'elle a fait.

de PeterGriffin le 2011-05-24 à 09h05

Pourquoi, L### ? POURQUOI ? Pourquoi tu veux pas m'laisser partir une bonne fois pour toutes ?
Je sais qu't'as pas souvent internet.. Mais si t'as l'temps d'effacer mes commentaires, t'as le temps d'répondre à cette question qui est toujours la même : quelles emmerdes je t'ai apportées ? ='(

Tu sais très bien à quel point je suis obsédé par mon impact sur les gens..
Si tu m'expliques pas c'que j't'ai fait, toute ma vie j'aurai peur de les blesser comme j't'ai blessée toi.. ='(

Je sais pas c'que t'as dit sur moi, je sais pas si t'essaies d'me faire passer pour qui je n'suis pas, j'm'en fiche.. J'veux partir et oublier tout ça..
Donner une vie, ça t'donne pas le droit d'en détruire une..

de PeterGriffin le 2011-05-24 à 02h34

Et j'en ai assez de venir ici contempler le bonheur auquel j'n'aurai jamais accès..

de PeterGriffin le 2011-05-24 à 02h42

mercredi 18 mai 2011 à 21h47 par PeterGriffin

c'est étrange, vous répondez au sujet des hypothèses dont JE vous parlais sur mon kaleidoscope
à D### C### (qui je le répète n'est pas moi!) sur son blog à elle
si elle n'a pas lu mon kaleidoscope, elle doit se demander quoi!!!

de fleurdatlas le 2011-05-18 à 23h49

Se taire
ne rien répondre,
ce n'est pas accuser autrui,
ce n'est pas le culpabiliser non plus

c'est: tout simplement:
se taire
et ne rien répondre

lorsque quelqu'un ne me répond pas, je me dit: "il est ainsi
moi je suis comme je suis et je reste comme je suis, les autres qu'ils soient comme ils sont, ça n'empêche ni moi de vivre, ni la terre de tourner!"

autrement dit, je ne me prends pas la tête
si les autres me répondent tant mieux (pour moi)
s'ils ne me répondent pas tant pis (pour nous tous)

mais je ne fais pas dépendre ma destinée et ma vie, ma raison, ma bonne santé et mon moral de leur réponse ou de leur silence

j'estime avoir de la valeur et cette valeur ne s'acquiert pas ou ne se perd pas en fonction du comportement d'autrui à mon égard

de fleurdatlas le 2011-05-18 à 23h58

ne me placez jamais sur un piédestal!

je n'aime pas les chutes!

que chacun reste à sa place
et les blogs seront bien gardés!

de fleurdatlas le 2011-05-19 à 00h00

il y a des situations où il n'y a rien à comprendre
et d'autres où on se bouche soi-même yeux, oreilles et bouche par peur de comprendre, on voudrait que d'autres nous donnent la sentence que l'on s'est déjà préparée dans son intellect
et si jamais on obtient enfin gain de cause, et que la sentence est différente de celle que nous avions prévue, nous sommes amers, déçus et incrédules
l'autre a parlé en vain

si ton coeur t'accuse
demande-lui pourquoi
et c'est à toi de répondre sur ce point et non pas à une personne extérieur

et si ton coeur ne t'accuse pas, passe ton chemin
agis
accomplis

c'est par l'action que l'homme s'accomplit et devient qui il est

et non pas par la procastionation

de fleurdatlas le 2011-05-19 à 00h05

je vous le répète, personne ne vous DOIT de réponse
même si vous le dites et l'exigez

puisque vous avez des centaines de grief contre D### C###, exposez-les ici en large, en long et en travers
vous avez la liberté de parler, faites-le
ne menacez pas
faites-le

je ne sais pas si elle ou quiconque vous comprendra mieux, mais vous aurez au moins franchi la porte de vos désirs et menaces, vous serez entré dans l'action

bonne nuit sur ce

de fleurdatlas le 2011-05-19 à 00h09

"procrastination", désolée, ma "mal frappe" a encore (mal) frappé!

de fleurdatlas le 2011-05-19 à 00h13

"j'estime avoir de la valeur et cette valeur ne s'acquiert pas ou ne se perd pas en fonction du comportement d'autrui à mon égard"

La valeur de chacun n'en est une que dans le regard d'autrui sans quoi ce concept n'aurait pas lieu d'être.
Sans autrui, ni espoir de reconstruire un semblant de vie sociale, j'ai pire qu'une valeur nulle, j'n'ai pas de valeur tout court. [Et vous pouvez tourner cette phrase dans tous les sens, sa logique n'en est pas fallacieuse.]

de PeterGriffin le 2011-05-19 à 00h30

C'n'est pas vous que je plaçai sur un piédestal.

de PeterGriffin le 2011-05-19 à 00h30

Je répondrai que mon coeur m'accuse malgré ce que toute logique contredit.
Et qu'étant fondé sur la logique avant toute chose, je n'peux aller au-delà de cette contradiction.
Elle parlera en vain, c'est sûr dans des proportions indécentes, compte tenu du nombre insensé de solutions possibles à son comportement que j'ai déjà hypothétisées. Mais la proportion n'étant pas parfaite, j'n'ai besoin d'elle qu'afin de savoir laquelle est la bonne..

de PeterGriffin le 2011-05-19 à 00h40

"C'n'est pas vous que je plaçai sur un piédestal. "

je sais bien, et heureusement!

mais au cas où l'envie vous en prendrait, abstenez-vous rigoureusement en ce qui me concerne!

de fleurdatlas le 2011-05-19 à 00h41

Exposer mes griefs ne me soulage pas.
Il n'y a aucune justice là-dedans.
Les seules justices se trouvent dans la vengeance et dans la réparation.

Et si elle ne m'aide pas à retrouver ce qu'elle m'a fait perdre, la seule justice serait que je lui fasse perdre quelque chose à mon tour. Ne serait-ce que le respect de ceux et celles qui osent la voir comme quelqu'un d'honnête et de compatissant.
Dussé-je passer des années à faire connaître sa petite personne et sa petite histoire au fil du net. Les mêmes années de vie sociale qu'elle m'a volées en détruisant le peu de foi que j'avais en la "bonté".

de PeterGriffin le 2011-05-19 à 00h50

"La valeur de chacun n'en est une que dans le regard d'autrui sans quoi ce concept n'aurait pas lieu d'être."

je suis désolée de vous contredire

chacun de nous a une valeur "propre"
et c'est une parfaite erreur de se définir dans et par le regard d'autrui

une personne étant obligée de vivre seule et loin de tout lieu habité acquierait-elle soudain une valeur = 0 parce qu'elle ne serait plus sous le regard d'autrui?

pourquoi des personnes choisissent-elles librement l'érémitisme (vivre en ermite)?

de fleurdatlas le 2011-05-19 à 00h50

je ne vous parle pas de "vous soulager" mais de "vous accomplir"

si vous accomplir c'est de faire connaître sa petite histoire à tout le net, allez-y, faites!

attention à ce que vous direz car la diffamation est un délit grave!

"La diffamation est définie à l'article 29 de la loi du 29 juillet 1881 lequel dispose : "constitue une diffamation toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé".
Il faut retenir que le fait imputé peut être réel ou non. "

de fleurdatlas le 2011-05-19 à 00h55

Quand l’univers proposé à l’enfant est chaotique, que la satisfaction est trop aléatoire, à la place de la confiance, émerge la méfiance tant à l’égard des proches que de soi. Les premières constructions mentales, à savoir les représentations de l’autre et de soi sont entachées. Le sentiment de persécution et le sentiment d’être indigne de recevoir ou incapable de donner et plus encore la sensation de vide abîment la constitution de l’autre – désigné par le terme « objet » en psychanalyse – et le narcissisme du sujet, avec pour conséquence, des sentiments d'impuissance et d'échec. Au cours de sa vie, le sujet recherche la reconnaissance mais n'en est jamais convaincu ou rassasié

La confiance de base et l’Espérance, qui en découle, sont les fondations sur lesquelles s’imbriquent l’estime de soi qui est le socle de l’identité du moi. La qualité de ce support est décisive quant au possible dépassement de la crise normative au moment de l’adolescence et du début de l’âge adulte. Défaillant, il aboutit à un escamotage pernicieux de la crise identitaire.

L’estime de soi se manifeste par la fierté ou non d’être qui nous sommes. Elle résulte d’une évaluation continue de nos actions. Si celles-ci sont en accord avec nos valeurs, l’appréciation est positive et renforce l’estime de soi et, inversement, les comportements en contradiction avec nos valeurs conduisent à une dévalorisation de soi. Lorsque l’estime de soi est tellement faible, le sujet ne peut croire qu’il sera apprécié tel qu’il est. A ses propres yeux, il est un nul, indigne d’être aimé et accepté. Il reste en retrait afin de ne pas être rejeté de sorte que, comme il se replie sur lui, le regard d’autrui ne peut corriger l’image qu’il a de lui-même. La conviction d’être un moins que rien s’auto-entretient.

En outre, l’estime de soi joue un rôle considérable sur la façon de mener sa vie, d’imaginer son avenir et d’initier ou non des projets. La capacité de s’appuyer sur ses points forts fait que les difficultés sont perçues mais la personne ne s’y arrête pas, animée de la conviction qu’elle pourra les surmonter ou les contourner. Seul l’objectif importe. A l’inverse, une faible estime de soi s’accompagne d’une tendance à souligner ses défauts et ses lacunes et à se décourager rapidement, d’où il ressort une paralysie des projets. En bref, la chance sourit aux audacieux et qui ne tente rien n’obtient rien. L’individu téméraire rencontre bien sûr des écueils mais il se donne aussi la possibilité d’atteindre son but alors que celui qui, les bras ballants, reste sur la rive se morfond. Tôt ou tard, celui qui s’est investi, avec persévérance, en vue d’améliorer sa condition récolte les fruits de ses efforts. Le véritable danger est de perdre sa vie par crainte de la risquer. Au plus le temps passe sans que l’individu ait réalisé aucun de ses rêves, au plus l’estime de soi baisse et au moins il y a de chances de la voir remonter.

Par ailleurs, une situation n’est problématique et inquiétante, voire stressante, qu’aussi longtemps que l’on ne trouve pas d’issue pour en sortir. Entrevoir la solution fait partie du processus de résolution de problème. Élaborer le plan d’action, c’est déjà être en action et cela permet de calmer les affects déplaisants. Un individu contraint à la passivité est obligé de déployer d’autres stratégies pour contrôler l’angoisse. Ainsi on peut concevoir que la personne, entravée par une piètre estime d’elle, subisse passivement les événements sans trouver la force de déployer les comportements efficaces et qu'elle soit submergée par l’anxiété ou l’angoisse. C’est ainsi que de nombreux individus rêvent leurs vies sans jamais essayer de concrétiser leurs aspirations, se sentant si peu à la hauteur ou ayant bien trop peur de se vautrer qu’ils se coupent de leurs potentialités. La comparaison avec leurs contemporains et me constat de leurs réalisations a l’effet d’un miroir et l’image est piteuse.

une bonne estime de soi est un préalable indispensable à l’admiration, à la confiance et au respect qui sont trois piliers de l’amour. Ces composantes de base sont nécessaires pour que l’attachement ne se transforme pas en dépendance affective, prison psychique où la liberté d’épanouissement de chacun est réciproquement entravée par les besoins infantiles hérités d’un passé non dépassé. Le niveau de l’estime de soi n’est jamais définitivement établi. Toutefois, lorsqu’il se maintient bas, voire très bas, sur de longues périodes, il semble indépendant des circonstances de la vie et plus intimement lié à l’image que la personne a d’elle-même. Il y a alors lieu d’entamer un travail de réconciliation avec son passé et avec soi-même afin de relancer les possibilités évolutives de la personne.

http://www.la-psychologie.com/estime-de-soi.htm

de fleurdatlas le 2011-05-19 à 01h00

« Etre oublié par les hommes ou en être désapprouvé sont des choses entièrement différentes . »

l'admiration des autres n'est que la forme la plus voyante de leur reconnaissance, car elle a trait à notre valeur ; mais leur haine ou leur agression le sont aussi, bien que de façon moins évidente : elles attestent non moins fortement notre existence.

« Se sentir ridicule revient en quelque sorte à se sentir anéanti et rendre quelqu'un ridicule équivaut presque à porter à son Moi une atteinte mortelle qu'aucune autre offense ne saurait égaler. En revanche, être haï de tous excepté de soi-même est un état souhaitable, voire désirable. Une telle détestation générale n'entraînerait pas la mort du Moi, au contraire : elle l'emplirait d'un sentiment de bravade qui lui permettrait de survivre des siècles durant et de clamer sa colère face à un monde de haine. Mais n'avoir pas d'ami ni même d'ennemi, voilà l'enfer véritable dans lequel un être pensant éprouve les tourments de l'anéantissement progressif sous toutes leurs formes. »

La haine de quelqu'un, c'est son rejet : elle peut donc renforcer son sentiment d'existence. Mais ridiculiser quelqu'un, ne pas le prendre au sérieux, le condamner au silence et à la solitude, c'est aller bien plus loin : il se voit menacé du néant.

http://www.scienceshumaines.co..._2658.html

de fleurdatlas le 2011-05-19 à 01h12

Nul n'a une valeur intrinsèque, car une valeur n'est dans l'absolu définie par rien. Toute valeur se fonde dans la relation, peu importe le domaine. Des mathématiques à la métaphysique en passant par l'économie relative.

Sans autrui, nous n'avons personne à qui nous comparer. Nous n'avons donc pas la valeur d'autrui pour nous faire prendre conscience de la nôtre, notre propre valeur étant alors le seul référentiel, nous n'avons plus de valeur. C'n'est pas une valeur dite négative, c'est une valeur parfaitement nulle, ou absolue, pour être plus rigoureux.

Je pourrais écrire des pavés à ce sujet maintes fois tombé en fac' de philo', j'aimerais ne pas avoir à le faire à cette heure-ci, après m'être endormi en écrivant ceci..

Quiconque CHOISIT de vivre en ermite a déjà connu le regard d'autrui et l'a fui de son propre chef. Il a choisi l'annihilation de sa valeur, ce qui paradoxalement le pousse à voir en lui une valeur autre, vestige moral du regard d'autrui qu'il conserve malgré tout. En soi, ça montre même l'ironie du regard d'autrui qui n'a pas besoin d'être là pour être là, dès l'instant où il l'a déjà été.
Tout le monde ne le choisit pas.

de PeterGriffin le 2011-05-19 à 01h22

D'une diffamation à l'autre, elle est la première à avoir déclaré "Tu n'as été pour moi qu'une source d'emmerdes.", sans arguments à l'appui ni autre forme de procès.
Je n'suis pas encore assez aveuglé par la colère pour tomber dans le piège de la diffamation en révélant son identité officielle à qui veut l'entendre. Son pseudonyme suffit. Elle me facilite la tâche en ayant le même un peu partout, d'ailleurs, msn et facebook compris. Et si elle venait à changer de pseudonyme par ma faute, je le prendrais comme une victoire. Ca prouverait mon existence.

de PeterGriffin le 2011-05-19 à 01h30

Les C/C sur la psycho' ne m'ont pas appris grand-chose, j'ai déjà étudié les mécanismes, j'aurais pu parvenir aux mêmes conclusions, et sans rappeler que ça n'm'aide pas, car ça n's'oppose pas à mon dilemme de logique, je dirai juste : vous n'vous adressez pas à un individu social lambda.
Bien que mon existence sociale puisse être théorisée comme celle de n'importe qui, elle fut une succession de feux de paille dont quelques braises plainaient jusqu'aux suivants. J'ai toujours eu très peu de contacts sociaux, et sans m'y complaire, j'm'y suis résigné. Des gens venaient, d'autres repartaient, la seule constante était une mince communauté d'internautes connus depuis quelques années.
Après la trahison de Lucile non plus, j'n'étais pas seul. Maintenant non plus.
Mais quoiqu'ils me disent, je suis obsédé par l'idée qu'ils puissent devenir comme Lucile.
Et leurs paroles, c'est au travers de L### que j'les entends.
Et je n'peux plus leur faire confiance, quoiqu'ils me disent, parc'que ce serait comme faire confiance à Lucile, d'une certaine manière, car comme eux elle a été une amie, bien plus proche de moi que n'importe lequel d'entre eux..
Et si elle a pu faire ça sans raison, tous le peuvent..
Quand je dis que ça m'a rendu méfiant, c'est un cruel euphémisme..

de PeterGriffin le 2011-05-19 à 01h57

"j'estime avoir de la valeur et cette valeur ne s'acquiert pas ou ne se perd pas en fonction du comportement d'autrui à mon égard"

je persiste et signe
la valeur qu'ON A ou qu'ON A ACQUISE
ne se perd pas ou ne s'acquiert pas en fonction du COMPORTEMENT d'autrui à notre égard

SAUF si on décide que les autres ont le pouvoir de nous donner ou nous enlever arbitrairement une chose qui n'est pas en leur possession et qui n'est pas de leur ressort et dont ils ne peuvent se parer si on croit qu'ils puissent être en mesure de nous la dérober ou prendre

votre attachement à DC, qui vous fait actuellement entendre tout propos comme au travers d'elle et non point objectivement, et à travers leur propre personnalité, est un attachement férocement abusif, immérité,destructeur, qui ne s'ancre dans aucune réalité puisque DC vous ignore et ne parait pas souhaiter entretenir la moindre relation avec vous à ce que nous pouvons constater jusqu'à ce jour et cette heure

de fleurdatlas le 2011-05-19 à 03h53

je ne souhaite pas "vous aider", mais tenter de répondre à certaines de vos assertions et commentaires
d'entrer en dialogue avec vous

si vous trouviez que vous perdez ici votre temps en vains bavardages non constructifs, non aidant
soyez libre d'y renoncer

bonne journée

de fleurdatlas le 2011-05-19 à 03h54

"je persiste et signe
la valeur qu'ON A ou qu'ON A ACQUISE
ne se perd pas ou ne s'acquiert pas en fonction du COMPORTEMENT d'autrui à notre égard"

Définissez donc cette supposée valeur.

Mon attachement, dont je tiens à rappeler la valeur négative, dépend d'elle. Moins destructeur que réparateur, tout sauf abusif en comparaison avec ce que je subis tous les jours par sa faute, et pour la même raison, plus mérité que jamais.
Ce que je pensais avoir expliqué correctement, c'est que ma haine envers elle ne réside que dans les conséquences de son passage dans ma vie. Vous qui semblez avoir des connaissances élémentaires en psychologie, vous n'êtes pas sans savoir que l'esprit humain est relatif par définition. En d'autres termes, toute forme de communication médiate issue de l'esprit sera soumise au mensonge, volontaire ou non. Autrement dit : objectivement, on ne devrait jamais croire autrui, en-dehors de vérités formelles.

C'est donc d'un excès d'objectivité que je souffre. Je n'entends plus que des mensonges, en-dehors de la logique pure. Et je n'peux pas vivre comme ça. J'ai besoin de savoir comment on peut en arriver à mentir ainsi à quelqu'un à qui on a prétendu tenir, et qu'on a prétendu aimer. Parc'que tant que j'n'en connais pas la raison, je considère que toutes les raisons sont valables, et donc que toute parole non formelle est un mensonge.. Je n'veux plus vivre en étant terrifié par mes amis. Ils ne méritent pas plus ça que moi.

Je suis le premier à reconnaître mes erreurs quand j'en commets. Modestus et augustus.
Je commettrais une erreur si elle n'avait jamais rien fait de manière à ce que cette situation survienne.
Je considère que cacher l'existence de quelqu'un pendant des mois, lui dire qu'on l'aime en pensant à un autre, et lui promettre un quelconque soutien, avant de disparaître et de laisser à ce quelqu'un le soin de découvrir lui-même toute l'affreuse vérité est une erreur.
Une erreur qu'elle ne reconnaît pas. Alors qu'il suffirait de quelques mots pour réparer ce qu'elle a brisé en moi.
J'n'aurais alors perdu qu'une amie et quelques mois de ma vie sentimentale. Alors que là, c'est mon existence sociale et des amis que je perds.

En soi, mes requêtes à son égard sont le seul moyen d'avoir droit à une justice..
Elle a les moyens de me faire partir, et elle s'y refuse. Alors qu'elle a elle-même déclenché tout ceci.
Ce serait partir qui serait une erreur. Ce serait abandonner mes espoirs de toute vie sociale..
Le seul moyen autre de sortir de cette aporie sociale serait de croiser la route de quelqu'un montrant encore plus d'attachement à moi qu'elle ne l'a fait. Situation fort improbable, au regard de la crainte que m'inspirent les gens qui tiennent à moi, désormais..

"qui ne s'ancre dans aucune réalité"
Et vous raisonnez sur des réalités multiscalaires, il semblerait.
Si ses réactions sont en puissance, ce qu'elle m'a fait reste en acte.

Et j'ai déjà dit que je n'resterai ici que tant que je n'serai pas sorti de cette histoire.
Je n'renonce jamais à un dialogue, pour autant j'n'oublie pas la malheureuse raison de ma présence ici.

de PeterGriffin le 2011-05-19 à 13h15

Écoutez, si cela vous aide de lire de quelqu'un d'autre que ce qu' "elle" vous a fait est vraiment ignoble et qu' "elle" s'est comporté comme la pire des s*l*p*s, voilà, moi je suis intimement convaincu de cela.

Mais ce que vous faites ici ne vous aide pas, au contraire vous rabaisse aux yeux des gens qui peuvent lire ceci ainsi qu'aux yeux d' "elle".

Si vous tenez tant à avoir des réponses, faites cela de manière encore plus directe. Allez chez elle ou dans son lieu de travail, et posez-lui vos questions en face. Et si "elle" ne veut pas vous repondre à ce moment-là, soyez convaincu que ce n'était pas quelqu'un de bien et que vous méritiez mieux. Et continuez votre chemin avec ce que vous avez. Prouver que vous reussirez bien dans votre vie sans "elle" sera votre meilleure revanche.

Je suis le premier à regretter que des femmes puissent noyer leurs promesses dans le silence, mais justement pour avoir vécu cela je peux vous assurer qu'on finit toujours par s'en sortir et qu'on est moins seuls que l'on puisse y penser.

Bonne continuation.

de CybG le 2011-05-19 à 13h18

Passer pour un asocial trop attaché à son passé ou pour un psychopathe névrotique obsédé par D### C### ne m'importe pas, ici.. La seule aux yeux de qui mon statut aurait pu compter sait très bien que ma nature n'est pas si simple, aussi fort le niât-elle.

Je sais déjà qu'elle n'était pas quelqu'un de bien.
Je n'peux pas pour autant aller la voir. Pas le courage de créer d'autres souvenirs que je devrai oublier par la suite..

Et c'est l'un des traits qui m'attristent.
Elle a déjà mieux réussi sa vie que moi. Elle aura une famille, des gens qui la soutiennent.
Moi ? J'aurai des diplômes, j'aurai le respect de philosophes et métaphysiciens de tout poil, mais pas d'affection..

de PeterGriffin le 2011-05-19 à 13h31

C'est pourtant ce qu'il faut faire, créer un dernier souvenir en affrontant directement la personne une toute dernière fois.

Sinon, la réussite dans la vie est une notion relative, bien entendu, mais je n'envie pas du tout la situation d' "elle", d'après ce que j'ai pu lire. Votre situation est objectivement, beaucoup meilleure.

L'affection dont vous parlez on peut la trouver dans d'autres sources, et surtout avec d'autres personnes. Mais c'est en donnant de l'affection qu'on en reçoit, en général.
Ma participation s'arrête ici. Bon vent.

de CybG le 2011-05-19 à 14h09

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