va voir, c'est la vidéo de l'émission de "les maternelles" où l'on explique le comment du pourquoi de la campagne du 8 mars "no more clichés" http://unepassante.karmaos.com/post/413
Nous avons revisionné DJM et moi, ce qui a donné lieu à un débat animé sur divers thèmes: la justice, le regard, l'écoute, l'incompréhension inter-générationnelle et inter-familliale, et la fracture opérée par un repli sur un hobby méticuleux, sans grande utilité sociale et relationnelle (nous voulons parler ici de la taxidermie liée à la collection de trophées) prévalant sur la véritable relation avec l'entourage familial (combien chacun sait se créer des "paravents" qui d'utiles à de nécessaires recentrations et décompressions, finissent par "manger" nos vies et en devenir, hélas, le but ou l'essentiel! chacun trouvera des exemples persos, nous en avons notre lot, nous aussi! DJM et moi)
exit la "chasse" en tant que telle, celle au gibier (nous sommes chasseurs... d'images)
notre réflexion déjà ancienne à ce sujet nous a entrainés à ne pas traquer nos semblables ou leur en donner l'impression, d'où une focalisation sur les personnes "autorisées" de notre entourage, ce qui donne une impression de megalo et narcissisme quant à nos productions photos et plastiques
mais nous croyons que par nos temps de paranoïa et de terreurs montantes, il ne faut pas risquer d'exaspérer le citoyen lambda, de quelque pays ou nationalité soit-il
quelque soit le lieu qu' il fréquente...
pour autrui, nous préférons souvent demeurer dans le "flou"
donc une vidéo que tu pris le risque de poster, et qui nous fit beaucoup réfléchir
Me voilà de retour, je suis allée essayer de rattraper mon retard de lectures, mais n'ai pas tout rattrapé, je trouve l'histoire captivante!
Félicitations sincères à toi Scifan pour la menée de cette nouvelle équipe de coécriteurs pour 2016, tu sais que je ne peux que suivre sans participer, mon énergie est absorbée par mes traitements pour lutter contre la maladie, mais je suis de tout coeur avec vous!
et votre travail me tient en haleine, allez-y, foncez, déjouez les pièges et faites aboutir le Ka-tet!
Mis à jour, j'ai publié cette vidéo sur Youtube (sûrement que je vais me faire taper sur les doigts, mais ce serait trop bête de ne pas donner l'accès au public pour ce court métrage complet).
ce qui me paraît très intéressant ce sont les textes français que j'ai pu y lire
comment les anglophones voient la société française, ses fragilités, ses traditions, son histoire et ses points forts
sur le site: déployer les articles pour les lire (cliquer sur: show passage...)
ps: quand on va qq part pour la première fois, on s'informe
c'est à la portée de n'importe quel touriste, alors pourquoi pas à la portée d'un animateur payé pour (bien) animer
le cynisme et la dérision (surtout sur le dos des autres) c'est pourri
bientôt ce sera plus du tout "tendance"
faut qu'il se méfie l'animateur, un bon humoriste, c'est recherché, un mauvais, c'est écarté
un vrai pro c'est apprécié, un fumiste c'est dénigré
eh ben si j'étais exposant concerné par cette triste blague, je ne reviendrais plus à angoulème, parce que ce genre de blague n'a pas droit de cité! c'est de la brimade gratuite et pitoyable!
je créerai un contre festival, na!
et de la part du festival, il serait normal de "remercier" à sa juste hauteur ce sublime animateur
je pense qu'il faut passer par coursera, mais je n'ai pas intégré cette plateforme, de toutes manières, pour le moment cela ne m'intéresse pas, mais pourrait être utile à d'autres
Alors un petit "point" par rapport à ce que j'ai vu sur le cours 2
il est assez astucieux de grouper les étudiants en langue par 10 maximum et par communauté d'intéret et de provenance
pour l'instant au bout de deux semaines, il n'y a pas assez de recul évidemment, mais il me semble que pour vraiment argumenter, il faut bien posséder une langue, pour l'instant la participation est un peu "molle"
faire parler les gens ensemble pour les faire expérimenter la langue c'est bien, oui
mais faut-il encore que les motivations y soient et que les débatteurs puissent vraiment être en possession d'une langue, j'estime pour ma part que ce n'est pas encore le cas
J'ai effectué les 2 premiers tests, j'ai un sans faute, ce qui me donne 2% de points sur 60% à obtenir pour une attestation de suivi
encore du boulot sur la planche!
mais j'y arriverai certainement, ce cours n'en est qu'à sa seconde semaine! (sur 12 si bien compris)
je ne participerai pas au forum, ni aux équipes, ceci est pour ma simple gouverne enseignante
j'ai trouvé un journal électronique semblable à celui que tu possèdes, avec une reconnaissance de visage, mais apparemment les stocks sont épuisés! ça a du avoir du succès: http://www.ubaldi-jouet.fr/mul...e#more-597
je retiendrai cette phrase édifiante:
"«La falta de tiempo y la búsqueda del anonimato conducen a refugiarse en las redes sociales, perdiendo las verdaderas amistades»"
source: https://www.change.org/p/loi-t...dium=email
"Le gouvernement a annoncé ce lundi matin qu’il allait reporter de quelques semaines l’examen de la loi Travail en Conseil des ministres.
Alors qu’il y a encore quelques jours, il envisageait d’utiliser le 49-3 pour passer en force, il est désormais obligé de reculer devant l’ampleur de la mobilisation. Bravo à toutes et tous d’avoir permis ce premier recul !
Nous ne sommes pas dupes : le gouvernement essaye de gagner du temps. Une manœuvre pour contourner une mobilisation citoyenne inédite ? Cela renforce notre détermination à convaincre et à mobiliser.
Partagez un message sur Twitter et Facebook pour annoncer ce premier recul et pour encourager les internautes à signer massivement la pétition :
Sur Twitter : https://goo.gl/vSD3VU
Sur Facebook : https://goo.gl/EHmDyQ
N’hésitez pas à interpeller le gouvernement sur les réseaux sociaux (@gouvernementFR) pour leur donner votre avis sur cette manœuvre.
Le 9 mars, des rassemblements sont prévus partout en France. La carte des RDV (mise à jour régulièrement) est disponible ici : http://loitravail.lol/rassemblements/
KlairA mea culpa l'écriture multi clavier ça ne marche pas terrible.
sur la proposition d'un co-auteur nous avons fait un essai, résultat
Il a débuté un chapitre j'ai continué, pui le chapitre est resté en rade j'ai du lui rappeler qu'il devait le terminer
Pétition pour la reconnaissance du burnout comme maladie professionnelle
En France 3,2 millions de français sont exposés à un risque élevé de « burn out »[1].
Ce syndrome d’épuisement professionnel frappe sans distinction, cadres et simples employés, salariés du public comme du privé. Il est la conséquence d’un trop plein de travail, d’un trop plein de pression qui mènent des hommes et des femmes à l’effondrement.
La mondialisation économique a profondément bouleversé le fonctionnement des entreprises. Confrontées à une compétition désormais mondiale, les entreprises se sont adaptées. Très vite, de nouvelles formes de management et d‘organisation du travail ont transformé en profondeur le quotidien de millions de salariés, soumettant ceux-ci à des évaluations de performance de plus en plus exigeantes. Les nouvelles technologies ont accéléré le mouvement, maintenant le lien entre les individus et leur travail bien au-delà du temps réel passé dans l’entreprise.
Ce travail qui colonise la vie, est souvent la première étape d’un processus qui s’achève par des pathologies physiques et psychiques lourdes et durables. La souffrance au travail est le mal de notre temps, comme l’exploitation des femmes et des enfants ou les conditions d’hygiène et de sécurité des travailleurs ont été la face sombre de la révolution industrielle au XIXème siècle.
Pourquoi faciliter la reconnaissance de l’épuisement professionnel ?
Il vaut mieux prévenir que guérir et favoriser la mise en œuvre d’organisations du travail en entreprise qui soient à la fois bienveillantes et performantes. Aujourd’hui les pathologies issues d’un «burn out» sont prises en charge par l’assurance maladie. Si ces pathologies étaient reconnues comme maladie professionnelles, elles seraient prises en charge par la branche « Accident du Travail – Maladie Professionnelle » financée à 97% par les cotisations des employeurs. Or, le montant des cotisations que paient les employeurs dépend directement de la sinistralité et des résultats propres à chaque entreprise quant aux accidents et aux maladies professionnelles comptabilisées en leur sein. Les entreprises seraient donc financièrement incitées à intégrer l’impact de la souffrance au travail dans leur politique managériale et leur organisation du travail. Reconnaitre le syndrome d’épuisement professionnel, c’est aussi garantir aux salariés touchés des droits. En effet, une fois reconnu le caractère professionnel de la maladie, les soins médicaux sont couverts et une indemnité journalière permet de compenser la perte de revenu entrainée par l’arrêt de travail. Le salarié est alors protégé, son contrat de travail est suspendu et il ne peut être licencié qu’en cas de faute grave.
Comment faciliter la reconnaissance de l’épuisement professionnel ?
La première voie consiste à inscrire le syndrome d’épuisement professionnel au tableau des maladies professionnelles. Cette option suppose un accord des partenaires sociaux, irréalisable en l’état en raison du refus des organisations patronales d’avancer sur la reconnaissance du « burn out » en tant que maladie professionnelle.
L’autre voie consiste faciliter l’instruction et la reconnaissance individuelle des cas de « burn out » par les comités régionaux de reconnaissance des maladies professionnelles.
Aujourd’hui, engager une telle procédure pour un salarié nécessite un taux minimum d’incapacité permanente partielle (IPP) de 25%. En pratique, ce seuil élimine l’écrasante majorité des cas de burn-out.
Cet obstacle à l’instruction des dossiers ne fait que renforcer le sentiment de solitude des victimes de burn-out, chacune d’entre elles se heurtant à l’impossibilité qui lui est faite de voir reconnaitre la responsabilité directe de son travail dans la situation d’épuisement dont elle est victime.
C’est la raison pour laquelle nous soutenons la proposition de loi déposée par plusieurs députés pour que ce seuil soit supprimé, comme c’est aujourd’hui le cas en Suède, ouvrant la possibilité d’instruire tous les dossiers sans distinction. Mais instruction ne veut pas dire reconnaissance automatique. Les comités régionaux dont la composition sera renforcée et ouverte à davantage de professionnels spécialistes des risques psychosociaux, pourront enfin identifier l’étendue et la réalité des pathologies psychiques liées au travail en France et favoriser une meilleure prévention du « burn out ».
Pour que cette proposition de loi soit inscrite à l’ordre du jour de travaux de l’Assemblée nationale je signe la pétition en faveur de la reconnaissance du « burn out » comme maladie professionnelle.
lorsque Google supprime des données, ce ne sont pas les données réelles de l’internaute qui sont supprimées, c’est l’index vers les données réelles. Donc, ce que l’on appelle le "droit à l’oubli" dans les cas des moteurs d’indexation, c’est en fait un droit à la désindexation, au déréférencement, ce n’est pas un vrai droit à l’oubli puisque les données d’origine sont toujours présentes sur les sites qui sont concernés.
c'est ce que je disais plus haut
on croit que les photos n'y sont plus par exemple, et elles y sont toujours et pour longtemps 10, 20, 30 ans et plus! it depends on...
C’est à chaque internaute de faire attention aux informations qu’il divulgue sur internet. Il faut toujours bien réfléchir avant de mettre en ligne des informations, des photos, des vidéos.
Il n’y a pas de véritable "droit à l’anonymat" sur internet. Ce que l'on y fait est enregistré et regardé par les autres et on n'est pas, par principe, protégé, pas revêtu d’une forme d’anonymat.
Il faut prendre de bonnes pratiques et de bonnes habitudes!
le moteur Ixquick a été labélisé par l’Union Européenne comme étant respectueux en matière de protection de la vie privée. (moteur le plus confidentiel au monde) https://ixquick.fr/fra/
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